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Liberty Enlightening the World
Nous sommes libres, mais nous savons que cela ne nous autorise pas à faire absolument tout ce que nous voulons.
- Qu’est-ce que le principe de liberté ?
- De quelles libertés importantes chacun d’entre nous jouit-il ?
La liberté, un droit naturel
La liberté et les libertés
- Est-ce pour cela qu’il existe des libertés collectives ?
- Quelles sont-elles ?
- Qu’ont-elles de particulier par rapport aux libertés individuelles ?
Des libertés exercées à plusieurs
La liberté d’association est le type même de la liberté collective. Il n’y a association que si plusieurs personnes sont concernées. Cette liberté permet à des millions de citoyens de pratiquer des activités qui ne sont possibles qu’en groupe. Pour qu’une association existe, puisse vendre, acheter ou encore employer des salariés, il suffit qu’elle soit déclarée aux autorités qui se contentent d’enregistrer la déclaration, sans porter le moindre jugement sur les motifs pour lesquels l’association est créée. Si une association ne respecte pas la loi, elle n’est pas sanctionnée au moment de sa création, mais plus tard, par la justice et sur des preuves tirées de son fonctionnement réel.
On peut également classer, parmi les libertés, collectives la liberté de la presse et, plus généralement, de tous les médias (audiovisuel, Internet, etc.). Il s’agit d’une forme particulière de la liberté d’expression : la libre transmission de l’information par des professionnels. Elle ne se conçoit donc pas sans journalistes, sans organes de presse (journaux, chaînes de télévision, etc.) et bien sûr sans public. Tous ces acteurs ont, en effet, besoin les uns des autres. La liberté de la presse est réglementée, pour l’essentiel, comme la liberté d’expression, mais il faut également tenir compte des contraintes que subissent les entreprises de presse et du pouvoir important que les médias ont sur l’opinion.
Des libertés politiques
La statue de la Liberté est une sculpture monumentale érigée sur Liberty Island, une petite île à l’entrée du port de New-York (NY, Etats-Unis). Son nom officiel est « La liberté éclairant le monde ». C’est l’une des sculptures les plus connues au monde, elle a été offerte par la France aux Etats-Unis pour célébrer le centenaire de la déclaration d’indépendance.
Mesurant plus de 46m de haut, mais paraissant plus parce qu’elle est juchée sur un piédestal de sa propre hauteur, la statue de la Liberté est une sculpture monumentale située sur Liberty Island, une petite île de la baie de New-York. La France l’a offerte aux Etats-Unis à la fin du XIXe siècle, pour une inauguration faite le 26 octobre 1886. Depuis ce jour elle a été le symbole d’un grand nombre de thèmes, essentiellement liés à l’espoir, l’immigration ou la liberté.
La construction a pris 9 ans, de 1875 à 1884, elle a eu lieu à Paris, dans les ateliers Gaget et Gauthier, spécialistes des travaux sur cuivre. La statue a été monté une première fois en plein Paris, pendant près d’un an, pour s’assurer que toutes les pièces pouvaient être assembler sans problème. Puis elle a été démonté, mis à bord d’un navire de guerre pour être acheminé jusqu’à New-York où les ouvriers américains l’on remonté.
Les principales difficultés qui ont été rencontré concernaient essentiellement le financement du monument, car si la statue était à la charge des Français le socle, lui dépendait des Américains. Or, ils n’avaient pas demandé la construction de cette statue, aussi eurent-ils du mal à accepter de payer pour faire son socle. Il a fallu l’intervention de Joseph Pulitzer, rédacteur en chef du journal « The World », pour donner un élan de solidarité envers les promoteurs du projet.
Le sculpteur, Auguste Bartholdi a créé un modèle 1m20, qui lui a servi à la construction d’une statue intermédiaire de 11m50 (qui a servi de modèle à la réplique parisienne du pont de Grenelle, sur l’île aux cygnes). Ce modèle a été découpé en 12 tronçons, tous mesurés en de nombreux points dans les 3 dimensions, puis reporté sur un modèle en plâtre construit d’après l’agrandissement des mesures. Une fois parfaitement au point, ce modèle en plâtre servait à la construction d’un gabarit en bois, en négatif, sur lequel les ouvriers martelaient les plaques de cuivre.
La statue de la Liberté se veut un symbole de la Liberté, bien sûr. Et pourtant c’est loin d’être ainsi qu’elle a été perçu au fil du temps. Initialement il s’agissait de mettre en avant cette valeur commune à tout être humain, mais la raison est plus pragmatique : Face au gouvernement autoritaire de Napoléon III, un groupe de républicains français décida sa construction pour mettre en avant l’idée de Liberté des peuples... et plus particulier du peuple français, tout en soulignant la Liberté acquise moins de 100 ans avant par le peuple américain.
C’est libre que je suis meilleur
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