- Livre d'or: Pour signer le livre d'or, cliquer sur "Écrire un nouveau message"
- Newsletter: Pour vous abonner et recevoir par mail un aperçu de toutes les nouvelles publications sur le site
ACCUEIL
-
Oui je l’aime et alors ? / Comment lui dire / Intimité / Modernité et…
Levez-vous et dansez au…
-
Regard / La mort d’un Eden / Kafkaïen / Nos illusions / En ouvrant les…
J'ai toujours su que…
-
Portrait / Ensemble / Le bruit des mots / Désir impatient / La mort du poète /…
Il aime à écrire l'amour…
-
Un peu de douceur / Meurt-il ? / Extrapolation / Plaisir double / La mort du…
Et si on en parlait ?
-
Première et dernière fois / Dérive de la foi / Du rêve, de l’oubli et du…
Tendance sociale:…
-
Cassandre, ivresse d’écrire / Libertés au féminin pluriel / Que penser /…
La vie d'un homme ne se…
-
Belle / Respects / Pourquoi aimer / Libre, oui mais / La blessure
J'éviterai, par respect…
-
Qu’a-t-on fait de Dieu ? / Chant de poète / L’inachevé / Hommage /…
Regarder le silence de…
-
Salut, l’artiste ! / Pensée coupable / Pepsi ou Coca / Respirer pour soi /…
Quand tu as bu à la…
-
Méditer / Quitte-moi doucement / Il faut le dire / Dieu est beau
Laisser partir ceux…
-
Eugène Delacroix , Un autre regard sur le Maroc / L’art et le corps /…
c'est à petite gorgée…
-
Primitif instinct / Préface d’un roman / Je savais / Pensée lointaine /…
"Pardon, madame !" ai-je…
-
Hymne au féminin pluriel / Et si le diable existait / Fleur sauvage
La danse est un langage…
-
Qu’est-ce qui arrive au pays ? / Perfide ignorance / Sois un loup /
Un médecin qui délire,…
-
Rien qu’elle / Fascisme / Esquisse / Vivre ainsi / De l’Art, /
Ah, Dieu ! Oserai-je en…
-
Désamour / Névroses / Pensées légères / Natures / Ma solitude / Que dire ?
Ce n'est pas pour rien…
-
Confession de foi / Ecrire / Ma muse / Fin de rêve / S’il faut le dire
c'est ma citoyenneté qui…
-
Ai-je perdu la foi ? / On se trompe d’ennemi ! / Triste réalité /…
J'ai vu mourir le rêve…
-
l’instant / Je parle / Quand on aime / Pensées / Ma solitude / Vivre ainsi
Je ne brade plus les…
-
Réquisitoire / Fais ce que tu aimes / Ok, parlons-en / Sosies…
avec un témoignage de Mr…
-
le dernier voyage / Conte pour citoyen / Ils ne trompent personne
"Il est des êtres dont…
-
Mon Maroc / Que faut-il ? / Provisoirement vôtre / Orgueil, quand tu nous tiens
Heureusement que l'art…
-
soif de mots / Éclats de liberté / Scènes / Hommage à la vie / Mon Maroc
Le Maroc que j'aime,…
-
Belle ou jolie / Khawatir / Belle nature / Malade à mourir / On a tous besoin…
Sa beauté est dans rire.…
-
Évanescence / L’erreur femme / Se taire et regarder / Grâce à qui ?
Je m'en vais croire…
-
Il a suffit d’un mot / Ensemble / Éclectisme / Hier / Jour faste /…
Il aime à écrire l'amour…
-
Aveu / Je ne vis pas / Brin de vie / Éloge au féminin pluriel
Un homme, un vrai n’est…
-
N’en déplaise à certains / Imagerie / Belle, belle, belle / Ecrire (1)
Sa présence suffit pour…
-
Conte interdit / Abjecte / Cœur trempé / Pourquoi aimer ? / La mort du poète
Le vol dure, le temps…
-
Tu leur diras / Clin d’œil au désir / Le droit de s’oublier /…
Il voulut tendre la main…
-
Exil / Pauvre / de l’art… / Scène de rue / Soupçon d’amertume
Terre stérile et peuple…
-
Il y a le mot et le travail / Identité / Devinez de qui je parle / Aimer,…
"La féminité est comme…
-
Blessures / Cogitations / La vie ailleurs / Que se passe-t-il ? /
Que faire, dans cette…
-
Authentique / Que reste-t-il ? / Parlons d’amour, plutôt / Pauvre /…
L'homme libre est celui…
-
Comme promis / Le cheval blanc / Voyage intérieur / Merci, je m’excuse /…
Elle se veut légère…
-
Titanic / Parfums de vie / Qu’a-t-elle ? Fugacité / Citoyen à 100 % /…
La vie, le parcourt et…
-
Incertitude / Belle ? / Aimer se mérite / Quitter doucement / Lettre à une dame
l'amour, pour mourir, a…
-
Remarquables rencontres / Il fallait le dire / Cœur / Comment / J’ai vu la…
Les réseaux sociaux…
-
Etat d’âme / La fleur et le papillon / Le droit de s’oublier
Retrouver l'ambiance de…
-
Conte de nuit / Rêverie / Couleurs de fête / Printemps, Fleurs et parfums
"Que serai-je sans toi…
-
Pérégrinations nocturnes / Clin d’œil / Questionnement / Regard
Il s'amuse à mélanger…
-
Le nouveau théâtre / Le point du jour & Tu me diras (vidéo)
Bientôt, il faudra voter…
-
Le testament du vieil homme / Droit dans le mur / La menace /
tout bonheur est à deux…
-
Un peu comme… / J’aime / Pourquoi / Elle était belle / Que vois-je ?
Certains grandissent au…
-
Elle, encore / des gestes et des mots / Pour moi, / Pour aimer
Il me faudra, beaucoup…
-
Même ceux qui boitent ne reculent pas / Il ne meurt jamais, le soleil / Kafkaïen…
Ce qui sauve les femmes,…
-
Une diatribe pour mémoire ! / Chaque pèlerin se dirige à la Mecque à sa manière…
La vie, dira le poète,…
Le plus bel ennemi du verbe aimer, c'est le verbe mentir.
En quelque pays que tu entres, conforme-toi à ses mœurs.
Photoreporter Free Lance
Webmaster
Décidé à surveiller les magouilleurs de la conscience sociale, je resterai à observer leurs tentatives à dénaturer notre identité et, s’ils oublient le long et prestigieux passé qui a fait de nous, ce que nous sommes et aspirons à être, pour délégitimer le droit qu’ils prennent pour nous affubler d’une identité importées,
je n’userai que de deux arguments, essentiels à mon existence sur cette planète: Nos origines profondes et communes et l’universalité des droits dont tout humain doit jouir pour ne pas perdre sa dignité.
de s’engouffrer dans n’importe quelle façon de voir, le droit de croire que c’est au paradis qu’on trouve des nymphes, toujours, vierges et à volonté, le droit de ne se soucier que de ce qui se passe après la mort, c’est leur choix et leur folie et il ne mériteront mon respect que s’ils tiennent compte de mon propre choix et de ma propre folie.
Chacun de nous, dans son existence propre a ce droit inaliénable de croire en ce qu’il veut. C’est un fait qu’il faut respecter pour nous éviter de perdre du temps à combattre l'intolérance, l'obscurantisme et la manipulation.
de couvrir leurs femmes et leurs filles, c’est un choix qui ne concerne qu’eux, ils ont le droit de faire de leur enfants des automates qui apprennent sans comprendre et qui n’ont que le choix de leur obéir. C’est leur vie, leurs délires et leur conception mais, ils ne doivent, en aucun cas, essayer de vouloir me l’imposer.
Nous jouissons, eux comme nous, des mêmes droits et des mêmes libertés.
Je ne suis ni saoudien, ni iranien. Mon pays me suffit et doit me suffire en dépits de toutes les prétentions. Il n’appartient à personne et sa souveraineté n’a été empruntée qu’à la longue histoire qu’il a réussi à construire grâce à ses femmes et ses hommes.

ⴰⵎⵕⵕⵓⴽ
Ma solitude

A ma naissance surement, elle m’attendait, un peu à l’écart des femmes qui prenaient la main de ma mère. Plus tard, enfant, quand l’école, pour moi, était une fête foraine, elle semblait m’observer de loin sans se faire remarquer. Je grandissais, doucement, dans le silence des bandes dessinées et c’est là que je m’aperçus qu’elle était là. Par dessus mon épaule, elle me murmurait les mots, trop difficiles pour moi. Nous feuilletions le dictionnaire à la recherche de l’univers d’un mot. Du collège au lycée, elle me soufflait les vannes qui indisposaient certains et me suggérait des expressions alambiquées pour épater la galerie. Pour la fac, elle était ma colocataire dans cette garçonnière de vingt mètres. Elle me tenait, si bien, compagnie que je ne m’ennuyais jamais. Elle aimait la Soul music et, pendant des heures, nous nous laissions aller à ignorer le temps jusqu’à confondre le jour et la nuit.
Il vaut mieux en rire
Je parle du pain dans ce qu’il a de mythique dès qu’on pense à la valeur qu’il véhicule, non celle nutritive seulement mais spirituelle. Le pain a ce côté si sacré que nos familles ne le jette pas mais le donnent. Dans certaines régions, quand le pain rassi s’accumule, on en fait un plat, cent pour cent végétarien et aromatisé avec ce condiment, si commun, le Fenugrec (Trigonella foenum-graecum ou Trigonelle ou sénégrain). C’est dire que le marocain s’est inventé des traditions et des pratiques, non pour seulement se débrouiller pour survivre mais pour rester au ras de la terre. Une sorte d’originalité qui étonne et surprend. Le pain, nous y voyons cette ressource essentielle que le bon Dieu a bien voulu nous offrir et nous lui en sommes, profondément et religieusement reconnaissants. Le pain, quand on le partage est un peu comme un pacte d’amitié au delà duquel, la traîtrise est un crime et la confiance, un devoir.

L’erreur interdite
Avant le baiser qui transforme la vie en éternel printemps, avant le contact des mains qui se serrent pour la première fois et avant le vertige des chaleurs nocturnes avec lesquelles s’écrit la volupté du corps offert, il y a le rêve dont les prémices jaillissent avant même de savoir marcher. Chacun de nous se fabrique la vie qui sied à ses désirs, ses envies, ses peurs et ses angoisses. De la couleur de la chemise qu’on préfère, à l’odeur qui a bouleversé, en nous, l’ange inconnu qui soutient notre être et qui semble glaner ça et là, les bribes qui serviront de tuiles pour se fabriquer un horizon. Avant de franchir la frontière invisible qui sépare le rêve de la réalité, l’esprit navigue dans les ruelles sombres du village qui nous a vu naître à la recherche, pour l’un, du réceptacle qui accueillerait sans déborder tout cet univers qui grouille de questions incomplètes et de réponses insuffisantes, pour l’autre, de la main qui rassure avant de faire le premier pas sur le fil d’acier du funambule qui veut défier le vertige du gouffre devant lui.
"Dans la vie il y des blessures qui, comme la lèpre, rongent l'âme dans la solitude"
Sadegh Hedayat (Iran)
Il est, parfois, des jours où la colère comme un ciel avec des nuages lourds, vient embuer le regard et donner au sourire un rictus assassin. La médiocrité n’est jamais acceptable, qu’elle soit à cause de l’ignorance ou volontaire, elle reste cette repoussante odeur de l’indignité.
Spectacle
Je défie le mensonge
de respirer mieux que moi.
Fort de ma sincérité
je regarderai les lèvres
qui tissent des toiles d’araignée,
durcir sous l’effet du venin
qu’elles utilisent pour parler.
Avertissement
Les articles, posts, chroniques ou texte ont d’abord été, pour la plupart, publiés sur Facebook et, devant l’intérêt porté, les réunir en recueil « online » est devenu une nécessité. A partir de la fin de la saisie, la publication se fera simultanément sur le réseau social et sur le site.
Les textes comme les photographies sont la propriété exclusive de NOURR Edine © et, la règle élémentaire pour copier, en partie ou en totalité est de mentionner l’auteur.
Pour contacter l’auteur, un formulaire de contact est disponible pour envoyer un e-mail avec l’assurance que l’e-mail restera confidentiel !
Oraison
Elle était belle à sa manière avec son incontournable tradition de réserver le jeudi au rite du hammam. C’était « sa » journée. La maison devenait, brusquement, vite et, tout le monde attendait son retour, juste avant la prière du coucher du soleil. Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de cette journée où le soleil s’était arrêtée pour la voir partir, dans un serein sommeil. Morte la veille de la fête de la marche verte. Tout l’hôpital était au point mort. Il fallait attendre le lundi pour disposer de son corps. Trois jours à dormir dans le froid des placards métalliques de la morgue. Un voisin me suggéra l’idée de la faire sortir, non morte mais agonisante. Il a fallu courir à la préfecture pour obtenir les autorisations nécessaires pour traverser les provinces avant d’arriver à sa ville natale. Ma mère avait cette chance inouïe de croire que si le bon dieu vous aime, rien ni personne ne pouvait entraver la marche du destin qu’il vous réserve. En moins d’une heure, elle sortait de l’hôpital dans l’ambulance avec tout l’attirail qui accompagnait les personnes agonisantes.
Quand elle était là, tout se mettait en ordre pour que tout se déroule comme dans une escapade à la montagne. Avant la fin de l’après midi, elle était étendue dans le grand salon de feu mon grand père. La grande demeure était comble. De la plus humble des aides ménagères à la plus riches des bourgeoises de la petite ville. Mon oncle, en maître de cérémonie, menait la soirée avec calme et prestance. Comme à son habitude, il réglait tout comme un chef d’orchestre. Morte et pourtant elle était si présente que je m’attendais, à chaque fois, à la voir apparaître.
C’est perdu dans mes pensées que je me mis à me poser des questions existentielles comme celle qui me prenait depuis toujours, « comment fait-elle pour être aimée de cette manière ? »
Lire à ce sujet:
Avec elle, c’est toujours la houle à zéro. Quand arrivait la tempête, pour elle, Dieu testait notre volonté à bien servir. Servir, c’est le maître mot de toute sa carrière d’épouse, de mère et de sœur. Servir le frère épileptique avec cette tendresse sincère d’une sœur devenue mère, le temps de le remettre dans son état normal. Servir la voisine en lui apprenant qu’un mariage était comme une balance dont les plateaux s’équilibraient toujours avec la patience et l’altruisme. Pour chacun de nous, ses enfants, elle était la branche solide sur laquelle elle se plaisait à nous installer en plaisantant. Quand elle partit, malgré le froid qui faisait grelotter nos misérables consciences, elle resta présente pour l’un, dans sa merveilleuse manière de nous faire un couscous hebdomadaire, pour l’autre, dans sa discrétion légendaire quand elle s’éclipsait pour aller s’enfermer dans le salon avec son Dieu qui lui dictait la solution à chacun de ses problèmes.
Outre sa personnalité si emprunte d’élégance et de détachement, c’est sa spiritualité sincère qui m’a toujours impressionné. Elle était et sera, toujours, le fruit d’une religion d’amour, de générosité et d’altruisme. Je pourrais même dire, sans hésiter, que c’est avec ses yeux que j’ai appris à regarder le monde. C’est même pour cela que je n’y vois que beauté et splendeur malgré la médiocrité qui s’installe quand les ambitions deviennent dévorantes !
Lire à ce sujet:
Repose en paix, mère !
TITRE II
LIBERTÉS ET DROITS FONDAMENTAUX
ARTICLE 19.
L’homme et la femme jouissent, à égalité, des droits et libertés à caractère civil, politique, économique, social, culturel et environnemental, énoncés dans le présent titre et dans les autres dispositions de la Constitution, ainsi que dans les conventions et pactes internationaux dûment ratifiés par le Royaume et ce, dans le respect des dispositions de la Constitution, des constantes et des lois du Royaume. L’État marocain œuvre à la réalisation de la parité entre les hommes et les femmes. Il est créé, à cet effet, une Autorité pour la parité et la lutte contre toutes formes de discrimination.

Prose partisane
Oui, je sais. Ma « marocanité », parfois, transpire et prends mes compères aux narines comme le gout des amitiés qui durent. C’est, parfois, un chant qui surprend l’étranger perdu dans sa quête des exotismes mais c’est surtout ce devoir de dire toute la beauté d’une nationalité. Je me surprends à me croire plus profond que l’identité que je porte en bannière mais, c’est à mes yeux, ce peu que je peux faire pour rendre grâce à l’air que je respire et qui a fait de moi, ce que je suis, pour moi-même et pour les autres. Si chaque génie interprète, avec fougue et courage, ce qui rassemble plusieurs sur un seul territoire, la nuit, nul besoin de lumière, nos rues s’éclaireront avec des sourires.
Pour signer le livre d’or:
Les photographies que nous aimons ont été faites quand le photographe a su s'effacer. S'il y avait un mode d'emploi, ce serait certainement celui-là (Edouard Boubat)
Lettre à un ami
Les rubriques
Le mot « Maroc » est issu du berbère Ameṛṛuk, en tifinagh :
« ⴰⵎⵕⵕⵓⴽ
étant le diminutif de « Amurakuc », nom originel de « Marrakech », et lui-même issu du berbère
« ⴰⵎⵓⵔ ⵏ ⵡⴰⴽⵓⵛ »
(amour n wakouch) qui signifie en berbère « terre/partie de Dieu », ou « terre sacrée ».
Le nom arabe al-Maghrib :
المغرب
signifie « le couchant ».
Ecrire
Tu appuies sur un bouton
et le texte tombe comme un torchon
tu deviens une machine qui distribue
avec une pièce, des friandises.
Certains croient que le verbe vrai
est une femme vénale et soumise
qui se couche à la vue du billet bleu.
D’autres n’hésitent pas à crier
au scandale quand les mots
comme des lames de rasoir
écorchent leur petit confort….
Carnets de voyage
Amour et raison
Ma raison, inflexible,
me dicte ce qu’il faut penser.
Mon cœur, lui, n’est pas là.
Occupé à vouloir comprendre
sans penser à se durcir…..
Claudie Gallay
« Il est des êtres dont c’est le destin de se croiser. Où qu’ils soient. Où qu’ils aillent. Un jour ils se rencontrent ».
Confession de foi
Les lois divines transcendent les lois humaines… me dit-on dès que j’ose me poser des questions, pourtant légitimes quand on a l’occasion d’aller voir ailleurs et que l’on trouve des hommes et des femmes qui arrivent à vivre ensemble sans se référer à Dieu. Dans leur vivre ensemble, la première chose qui frappe, c’est leur qualité de vie. leurs rues sont propres au point qu’on culpabilise dès qu’on se retrouve avec un mouchoir à jeter. Même leurs pauvres sont dignes et moins misérables car leur misère est plus un choix qu’une fatalité ou une injustice….
Légère vibration
irréelle
Quand je rentre chez moi,
c’est la lumière qui me guide
et elle est cette lumière.
Prisonnier de son cœur,
je me plais à danser
au rythme de ses battements
qui me secouent avec force
quand elle a peur, quand elle s’inquiète
et me bercent quand elle s’endort.
Mes dernièrs articles
- Oui je l’aime et alors ? / Comment lui dire / Intimité / Modernité et authenticité 8 décembre 2020
- La promenade continue 30 novembre 2020
- Regard / La mort d’un Eden / Kafkaïen / Nos illusions / En ouvrant les yeux… 30 novembre 2020
- Portrait / Ensemble / Le bruit des mots / Désir impatient / La mort du poète / Extrapolation 23 novembre 2020
- Un peu de douceur / Meurt-il ? / Extrapolation / Plaisir double / La mort du poète / Fleur du matin / Amour 16 novembre 2020
- Un peu d’art / Ah le Maroc / L’illusion perdue / If I Die / Aimer sans effort / De l’Amour, encore / De l’amour toujours / Écrire / 8 novembre 2020
- Merci / Idées / Repères / Ce que j’en pense / Amer constat / Les mots trompeurs / L’Histoire et ses mensonges 4 novembre 2020
- L’échec d’une génération 20 octobre 2020
- L’échec d’ une génération 20 octobre 2020
- fascisme islamique 19 octobre 2020
Restez
au
courant
des nouvelles
publications !
En vous abonnant, vous recevrez,
périodiquement
ma lettre d'information
avec l'assurance que votre email restera confidentiel !
P.S: Vérifier dans le dossier courrier indésirable.
St Thomas d'Aquin
Ce qui a vraiment un sens dans l'Art,
C'est la joie.
Vous n'avez pas besoin de comprendre.
Ce que vous voyez vous rend heureux.
Tout est là !
Constantin BRANCUSI
Photoreporter FREE Lance*
Artiste photographe
Chasseur d'images
Diplômé du Centre International de Formation Professionnelle
Liège - Belgique
Si la beauté est un art divin, l'art de la beauté est du ressort de l'humain qui rejoint dans son oeuvre le divin qui est en lui.
Il ne suffit pas d'exprimer un sentiment sous une forme sensible pour faire de l'art mais quand l'art suscite l'émotion, c'est que le beau est atteint
