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Sommaire
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Etat de cœur / Try it ! / Flagrant délit d’amour / L’étreinte du…
Il y a dans le terme…
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Pourquoi pas ? / Esprit es tu là ? / J’ai rêvé d’elle / Il ne meurt…
« Je me demande ce que…
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Quelle histoire lire ? / Manipulations / Encore Elle / Pérégrinations / Destin…
Quand elle prend son…
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Quelque chose bouge / Allégoriquement vôtre / Reconnaissance / Le droit de rêver…
Vidéo Clip "Imtawn" de…
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Eclats de bonheur / Vérités / Honte d’affronter nos actes / Frivolités /…
Sois heureux un instant,…
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Modestie / La mante religieuse / Solidarité communautaire / La voisine espagnole
Brek News: Espagne Maroc…
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Oui je l’aime et alors ? / Comment lui dire / Intimité / Modernité et…
Levez-vous et dansez au…
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Regard / La mort d’un Eden / Kafkaïen / Nos illusions / En ouvrant les…
J'ai toujours su que…
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Portrait / Ensemble / Le bruit des mots / Désir impatient / La mort du poète /…
Il aime à écrire l'amour…
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Un peu de douceur / Meurt-il ? / Extrapolation / Plaisir double / La mort du…
Et si on en parlait ?
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Première et dernière fois / Dérive de la foi / Du rêve, de l’oubli et du…
Tendance sociale:…
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Cassandre, ivresse d’écrire / Libertés au féminin pluriel / Que penser /…
La vie d'un homme ne se…
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Belle / Respects / Pourquoi aimer / Libre, oui mais / La blessure
J'éviterai, par respect…
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Qu’a-t-on fait de Dieu ? / Chant de poète / L’inachevé / Hommage /…
Regarder le silence de…
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Salut, l’artiste ! / Pensée coupable / Pepsi ou Coca / Respirer pour soi /…
Quand tu as bu à la…
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Méditer / Quitte-moi doucement / Il faut le dire / Dieu est beau
Laisser partir ceux…
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Primitif instinct / Préface d’un roman / Je savais / Pensée lointaine /…
"Pardon, madame !" ai-je…
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Hymne au féminin pluriel / Et si le diable existait / Fleur sauvage
La danse est un langage…
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Qu’est-ce qui arrive au pays ? / Perfide ignorance / Sois un loup /
Un médecin qui délire,…
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Rien qu’elle / Fascisme / Esquisse / Vivre ainsi / De l’Art, /
Ah, Dieu ! Oserai-je en…
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Désamour / Névroses / Pensées légères / Natures / Ma solitude / Que dire ?
Ce n'est pas pour rien…
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l’instant / Je parle / Quand on aime / Pensées / Ma solitude / Vivre ainsi
Je ne brade plus les…
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Réquisitoire / Fais ce que tu aimes / Ok, parlons-en / Sosies…
avec un témoignage de Mr…
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Mon Maroc / Que faut-il ? / Provisoirement vôtre / Orgueil, quand tu nous tiens
Heureusement que l'art…
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soif de mots / Éclats de liberté / Scènes / Hommage à la vie / Mon Maroc
Le Maroc que j'aime,…
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Évanescence / L’erreur femme / Se taire et regarder / Grâce à qui ?
Je m'en vais croire…
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Confession de foi / Ecrire / Ma muse / Fin de rêve / S’il faut le dire
c'est ma citoyenneté qui…
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Belle ou jolie / Khawatir / Belle nature / Malade à mourir / On a tous besoin…
Sa beauté est dans rire.…
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Aveu / Je ne vis pas / Brin de vie / Éloge au féminin pluriel
Un homme, un vrai n’est…
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le dernier voyage / Conte pour citoyen / Ils ne trompent personne
"Il est des êtres dont…
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Il y a le mot et le travail / Identité / Devinez de qui je parle / Aimer,…
"La féminité est comme…
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Authentique / Que reste-t-il ? / Parlons d’amour, plutôt / Pauvre /…
L'homme libre est celui…
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Exil / Pauvre / de l’art… / Scène de rue / Soupçon d’amertume
Terre stérile et peuple…
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Conte interdit / Abjecte / Cœur trempé / Pourquoi aimer ? / La mort du poète
Le vol dure, le temps…
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Titanic / Parfums de vie / Qu’a-t-elle ? Fugacité / Citoyen à 100 % /…
La vie, le parcourt et…
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Etat d’âme / La fleur et le papillon / Le droit de s’oublier
Retrouver l'ambiance de…
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Conte de nuit / Rêverie / Couleurs de fête / Printemps, Fleurs et parfums
"Que serai-je sans toi…
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Pérégrinations nocturnes / Clin d’œil / Questionnement / Regard
Il s'amuse à mélanger…
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Tu leur diras / Clin d’œil au désir / Le droit de s’oublier /…
Il voulut tendre la main…
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Comme promis / Le cheval blanc / Voyage intérieur / Merci, je m’excuse /…
Elle se veut légère…
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Il a suffit d’un mot / Ensemble / Éclectisme / Hier / Jour faste /…
Il aime à écrire l'amour…
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Blessures / Cogitations / La vie ailleurs / Que se passe-t-il ? /
Que faire, dans cette…
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Le testament du vieil homme / Droit dans le mur / La menace /
tout bonheur est à deux…
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Remarquables rencontres / Il fallait le dire / Cœur / Comment / J’ai vu la…
Les réseaux sociaux…
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Un peu comme… / J’aime / Pourquoi / Elle était belle / Que vois-je ?
Certains grandissent au…
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Écoute / J’ai vu… la femme, simplement femme ! / Le temps d’un…
Il y a des éclats qui…
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Une diatribe pour mémoire ! / Chaque pèlerin se dirige à la Mecque à sa manière…
La vie, dira le poète,…
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N’en déplaise à certains / Imagerie / Belle, belle, belle / Ecrire (1)
Sa présence suffit pour…
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Le nouveau théâtre / Le point du jour & Tu me diras (vidéo)
Bientôt, il faudra voter…
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Même ceux qui boitent ne reculent pas / Il ne meurt jamais, le soleil / Kafkaïen…
Ce qui sauve les femmes,…
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Elle, encore / des gestes et des mots / Pour moi, / Pour aimer
Il me faudra, beaucoup…
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Incertitude / Belle ? / Aimer se mérite / Quitter doucement / Lettre à une dame
l'amour, pour mourir, a…
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Ai-je perdu la foi ? / On se trompe d’ennemi ! / Triste réalité /…
J'ai vu mourir le rêve…
Le parc des amitiés

Gratitude et amitié
Finalement, à bien réfléchir au lieu d’être dans le pur commensalisme qui profite aux uns sans faire de mal aux autres, c’est une symbiose qui s’installe dès lors que quelqu’un s’intéresse à ce que je publie et, nous devons plus, tous, nous remercier les uns, les autres que d’applaudir ou d’ignorer ce fabuleux partage que nous permet cet outil qu’est un réseau social !
Présentation
Désormais, pour mieux distinguer les états d’âmes des coups de cœur ou de gueule, il y aura deux sentiers à suivre. L’un pour entrer dans le grand salon, décoré, à la marocaine et qui donne sur le jardin, la mer ou le silence des solitude, l’autre pour sortir sur la terrasse et partager un café, un thé ou toute autre liqueur, au gré de l’invité pour échanger, partager, découvrir ou débattre de ce qui se passe dans le pays, le monde ou le passé.
En plus du site web, qui reste la destination officielle, il y a, en plus du profil Facebook, une page, créée pour les chroniques, articles ou posts qui traitent des « choses » communes. Une manière d’offrir le choix de venir se balader dans ce qui représente un jardin individuel ou aller partager, échanger ou débattre de tout et de rien entre ami(e)s !
Page web, Facebook (Profil ou page des chroniques),
à chacun de voir !
Il y a
De temps à autre
Des fois, mes mots sont des larmes qui servent de linceul transparent aux victimes des injustices humaines.
Je n'en suis ni le maître, ni le serviteur.
Mohamed Kohen : Le devoir d’énergie dire que les mots qu on est capable de ressentir. Magnifique bravo l’ami.
Dalel Jemni: Merci cher ami pour ce rappel ! Vous avez tout à fait raison, le parc de l’amitié est le miroir qui reflète ce que nous sommes et non ce que nous voulons paraître.
Abdelmajid El Ahmadi: pour se ressourcer et vivre ensemble / tout est dit !
Françoise Dominique Bastide: Ralentir…nous ne savons plus ralentir…merci pour tes beaux textes, Nourredine. Parfois mon parc de Tawarta, m’absorbe entièrement. Le sous sol ne contenant pas d’eau, chaque végétal dépend étroitement du soin et du regard quotidien qu’on lui apporte. Réel et virtuel se confondent…
Mohamed Kohen: Ce jardin est merveilleux, c’est le tien tu y es le jardinier et tu dois en être le gardien qu´il en déplaise aux serments, aux petits qui se croient grands, aux ignares qui se pensent savants et à ceux qui y voient autre chose que la bienveillance, la générosité et l´amour. Ton jardin est un lieu idyllique qui invite à la détente, la récréation, le plaisir et à l´instruction. Je le visite pas autant que j’aimerai et à la beauté de tes fleurs et à la majesté de tes arbres je me délecte, je me rejouie et j´apprends.
Merci pour ce beau jardin universel !
Dalel Jemni: Merci cher ami pour ce rappel! Vous avez tout à fait raison, le parc de l’amitié est le miroir qui reflète ce que nous sommes et non ce que nous voulons paraître.
De derrière tes rideaux, tu me verras passer et, ton cœur battra au rythme de mes pas. Tu sauras, alors, que je porte ta douleur en moi !
Dédicace
Oraison

Elle était belle à sa manière avec son incontournable tradition de réserver le jeudi au rite du hammam. C’était « sa » journée. La maison devenait, brusquement, vite et, tout le monde attendait son retour, juste avant la prière du coucher du soleil. Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de cette journée où le soleil s’était arrêtée pour la voir partir, dans un serein sommeil. Morte la veille de la fête de la marche verte. Tout l’hôpital était au point mort. Il fallait attendre le lundi pour disposer de son corps. Trois jours à dormir dans le froid des placards métalliques de la morgue. Un voisin me suggéra l’idée de la faire sortir, non morte mais agonisante. Il a fallu courir à la préfecture pour obtenir les autorisations nécessaires pour traverser les provinces avant d’arriver à sa ville natale. Ma mère avait cette chance inouïe de croire que si le bon dieu vous aime, rien ni personne ne pouvait entraver la marche du destin qu’il vous réserve. En moins d’une heure, elle sortait de l’hôpital dans l’ambulance avec tout l’attirail qui accompagnait les personnes agonisantes.
Quand elle était là, tout se mettait en ordre pour que tout se déroule comme dans une escapade à la montagne. Avant la fin de l’après midi, elle était étendue dans le grand salon de feu mon grand père. La grande demeure était comble. De la plus humble des aides ménagères à la plus riches des bourgeoises de la petite ville. Mon oncle, en maître de cérémonie, menait la soirée avec calme et prestance. Comme à son habitude, il réglait tout comme un chef d’orchestre. Morte et pourtant elle était si présente que je m’attendais, à chaque fois, à la voir apparaître.
C’est perdu dans mes pensées que je me mis à me poser des questions existentielles comme celle qui me prenait depuis toujours, « comment fait-elle pour être aimée de cette manière ? »
Avec elle, c’est toujours la houle à zéro. Quand arrivait la tempête, pour elle, Dieu testait notre volonté à bien servir. Servir, c’est le maître mot de toute sa carrière d’épouse, de mère et de sœur. Servir le frère épileptique avec cette tendresse sincère d’une sœur devenue mère, le temps de le remettre dans son état normal. Servir la voisine en lui apprenant qu’un mariage était comme une balance dont les plateaux s’équilibraient toujours avec la patience et l’altruisme. Pour chacun de nous, ses enfants, elle était la branche solide sur laquelle elle se plaisait à nous installer en plaisantant. Quand elle partit, malgré le froid qui faisait grelotter nos misérables consciences, elle resta présente pour l’un, dans sa merveilleuse manière de nous faire un couscous hebdomadaire, pour l’autre, dans sa discrétion légendaire quand elle s’éclipsait pour aller s’enfermer dans le salon avec son Dieu qui lui dictait la solution à chacun de ses problèmes.
Outre sa personnalité si emprunte d’élégance et de détachement, c’est sa spiritualité sincère qui m’a toujours impressionné. Elle était et sera, toujours, le fruit d’une religion d’amour, de générosité et d’altruisme. Je pourrais même dire, sans hésiter, que c’est avec ses yeux que j’ai appris à regarder le monde. C’est même pour cela que je n’y vois que beauté et splendeur malgré la médiocrité qui s’installe quand les ambitions deviennent dévorantes !
Repose en paix, mère !
Les photographies que nous aimons ont été faites quand le photographe a su s'effacer. S'il y avait un mode d'emploi, ce serait certainement celui-là (Edouard Boubat)
Pourquoi refuser
Instant musique Amazign
Bizarre !

Notre vision du beau quand, naturellement, il s’expose et, parfois dérange… Trop attirant jusqu’à friser le vulgaire. La « morale », sacrée censure vient trancher comme un couperet pour distinguer le tolérable du toléré. Dans le temps, il y a quelques années, la mode était aux corps minces comme un brin de spaghetti solitaire. Forme filiforme, minceur et finesse étaient la norme et les femmes « rondes », trop enveloppées pour les unes, obèses pour les autres semblaient se désigner par leur « goinfrerie’, leur incapacité à se retenir devant une pâtisserie ou un succulent repas. Le poids idéal était la frontière entre celles qui savent être et les autres.
Note aux visiteur(e)s
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